Lucas Belvaux
Invité du festival
Auteur
Crédit photo à mettre ici
– Vendredi 22 novembre – 18h, Salle des Fêtes – La Cazerne
Rencontre avec l’auteur autour de son roman Les tourmentés,
suivie d’une séance de dédicaces et d’un apéritif de clôture du festival.
Né à Namur en 1961, Lucas Belvaux est acteur, réalisateur et scénariste. Pour le cinéma, il a réalisé plus d’une dizaine de films dont La Raison du plus faible (2006), Rapt (2009), 38 témoins (2012), Pas son genre (2014), Chez nous (2017), Des hommes (2020).
Les Tourmentés est son premier roman dont il vient de faire une adaptation pour le cinéma qui sortira en salle en 2025.
Les Tourmentés
Dix ans que les deux hommes s’étaient perdus de vue et puis, d’un coup, ils se retrouvaient au détour d’une rue, face à face. Le hasard, paraît-il, fait bien les choses. S’il s’agissait de lui, il aurait mieux fait ce jour-là de se mêler de ce qui le regardait, mais il n’y était pour rien. Skender le comprendrait bientôt, ce n’est pas le hasard qui avait mis Max et Madame sur son chemin.
Il le comprendrait bientôt.
Prix Régine Deforges du premier roman 2023
Prix Claude Chabrol 2023
Prix Saint-Georges du premier roman 2023
Prix Jeune mousquetaire du premier roman 2023
Lien vers une vidéo qui présente le roman.
Dans les médias
Florence Bouchy, Le Monde
« Le premier roman de Lucas Belvaux séduit par son audace. Le réalisateur et scénariste s’aventure avec assurance sur le chemin tortueux d’un récit romanesque aux ressorts aussi narratifs qu’analytiques. »
Jérôme Garcin, L’Obs
« Une œuvre puissante et angoissante (…). Un excellent et haletant roman. Lucas Belvaux a désormais deux cordes à son arc. Et il vise juste. »
Marine Landrot, Télérama
« La mutation de Lucas Belvaux est d’une beauté spectaculaire. On le savait homme de cinéma. Désormais, il faudra compter avec l’homme de lettres. (…) Lucas Belvaux sidère par l’ampleur frénétique de son écriture. Ancré dans le monde contemporain, avec ses laideurs d’âme, ses cruautés nauséabondes, mais aussi ses espoirs tenaces, ses silences éplorés, Les Tourmentés donne à entendre le chant splendide de personnages arrivés au bout d’eux-mêmes, et pourtant plein de réserve et d’humanité. »